Le Travail
Accueillir des personnes qui désirent partager le quotidien d’une ferme bio, c’est le principe du Wwoofing. Né en Angleterre, on le pratique en Touraine.
Aux confins de la Touraine, près du Berry et de la Sologne, Alexandra Dupont tient une ferme biologique où elle élève depuis 2011 une cinquantaine de chèvres laitières sur vingt hectares. Depuis mars dernier, elle accueille des « wwoofeurs », itinérants nourris et logés en échange d'un peu d'huile de coude. « J'en avais envie depuis le début » indique l'exploitante qui a elle-même expérimenté le Wwoofing durant un mois en Angleterre avant de se lancer dans ses études d'agronomie.
Pas des vacances pour autant
En quelques semaines, Alexandra Dupont a vu passer des visiteurs français mais aussi des Australiennes, une Lithuanienne et une Allemande. « J'ai presque tout le temps du monde. Le principe est de les accueillir comme des amis, des membres de la famille » explique-t-elle. « J'ai d'ailleurs encore des contacts avec certains wwoofeurs, j'ai fait de belles rencontres » ajoute l'agricultrice.
Mais il ne s'agit pas pour autant de vacances à la ferme. La traite, le soin ou encore le ravitaillement en foin des chèvres, les activités ne manquent pas sur l'exploitation. Pour éviter les mauvaises surprises, Alexandra Dupont choisit donc consciencieusement ces wwoofeurs. « Il faut vouloir mettre la main à la pâte et être motivé pour découvrir le monde agricole », souligne-t-elle.
" Une expérience unique "
En Indre-et-Loire, ce ne sont pas moins de six fermes biologiques comme celle-là qui adhérent aujourd'hui au réseau Wwoof France. (Toni Fabbri)
Read MoreAux confins de la Touraine, près du Berry et de la Sologne, Alexandra Dupont tient une ferme biologique où elle élève depuis 2011 une cinquantaine de chèvres laitières sur vingt hectares. Depuis mars dernier, elle accueille des « wwoofeurs », itinérants nourris et logés en échange d'un peu d'huile de coude. « J'en avais envie depuis le début » indique l'exploitante qui a elle-même expérimenté le Wwoofing durant un mois en Angleterre avant de se lancer dans ses études d'agronomie.
Pas des vacances pour autant
En quelques semaines, Alexandra Dupont a vu passer des visiteurs français mais aussi des Australiennes, une Lithuanienne et une Allemande. « J'ai presque tout le temps du monde. Le principe est de les accueillir comme des amis, des membres de la famille » explique-t-elle. « J'ai d'ailleurs encore des contacts avec certains wwoofeurs, j'ai fait de belles rencontres » ajoute l'agricultrice.
Mais il ne s'agit pas pour autant de vacances à la ferme. La traite, le soin ou encore le ravitaillement en foin des chèvres, les activités ne manquent pas sur l'exploitation. Pour éviter les mauvaises surprises, Alexandra Dupont choisit donc consciencieusement ces wwoofeurs. « Il faut vouloir mettre la main à la pâte et être motivé pour découvrir le monde agricole », souligne-t-elle.
" Une expérience unique "
En Indre-et-Loire, ce ne sont pas moins de six fermes biologiques comme celle-là qui adhérent aujourd'hui au réseau Wwoof France. (Toni Fabbri)